Dans les addictions avec substance, le topiramate a montré un int

Dans les addictions avec substance, le topiramate a montré un intérêt principalement dans l’alcoolodépendance. Néanmoins, la fréquence des effets indésirables fait que ce médicament ne peut être utilisé en

première intention, mais après les traitements habituels. Il n’existe que peu d’études dans les autres addictions. La prudence est de mise pour les addictions pour lesquelles il n’existe pas de traitements validés, telles que la dépendance à la cocaïne et la dépendance à la méthamphétamine. Dans les addictions comportementales, le topiramate a montré un intérêt, principalement dans la boulimie et le binge eating disorder. Dans la boulimie, l’American Psychiatric Association (APA) a recommandé que le topiramate ne soit utilisé qu’en cas d’inefficacité des autres traitements en raison de ses effets indésirables fréquents. La tendance du topiramate à induire une selleckchem perte de poids a été relevée comme problématique chez les patients avec un poids normal ou inférieur à la normale (IMC < 20 kg/m2) [69]. Dans le futur, la réalisation d’essais cliniques sur l’utilisation du topiramate en addictologie chez des patients ayant une comorbidité psychiatrique permettrait de mieux refléter la réalité des pratiques

au quotidien, ce dans la mesure où la corrélation entre troubles psychiatriques et troubles liés à une substance est bien établie. les auteurs déclarent ne pas avoir de conflits Endocrinology antagonist d’intérêts en relation avec cet article. “
“Le diagnostic et la classification des hypertensions pulmonaires (HTP) ont été au centre des débats de plusieurs symposiums au cours de ces quarante dernières années : Genève 1973, Evian 1998, Venise 2003, Dana Point 2008 et Nice en 2013. La dernière définition de l’HTP tient compte de la pression artérielle pulmonaire moyenne (PAPm) mesurée au moment du cathétérisme cardiaque droit, qui doit être supérieure ou égale à 25 mmHg [1]. Pour le moment, nous ne disposons pas de suffisamment de données pour pouvoir définir une hypertension pulmonaire à l’effort [1]. L’ancienne

Terminal deoxynucleotidyl transferase définition qui parlait d’une PAPm à l’effort ≥ 30 mmHg a été abandonnée en 2008, principalement en raison d’une grande variabilité de l’hémodynamique à l’effort selon l’âge et de l’impossibilité d’imposer un standard unique pour l’épreuve d’effort. L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est définie par une PAPm ≥ 25 mmHg, une pression capillaire pulmonaire (PCP) ≤ 15 mmHg (télé-expiratoire) et des résistances vasculaires pulmonaires (RVP) > 3 unités Wood au moment du cathétérisme cardiaque droit [1]. Les RVP sont calculées en tenant compte du débit cardiaque (DC) selon la formule : (PAPm-PCP) / DC. L’examen essentiel pour le diagnostic de l’hypertension pulmonaire est le cathétérisme cardiaque droit.

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